SOPHIE ET FRANCOIS: LE CARNET DE VOYAGES
Dernière mise à jour de cette page: 03/11/2013
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JOURNAL DE CROISIERE FIN DU MONDE, NOËL 2012
Cette page vous a permis de suivre en direct notre croisière Arc en ciel tropical.
Elle est désormais terminée.
La chronologie de la page est inversée: les élements les plus récents sont ajoutés avant les plus anciens.
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Programme de la croisière.
Jour 11: Miami, débarquement (snif !)
Jour 10: en mer
Jour 9: île Cozumel, au Mexique
Jour 8: Bélize, à Bélize
Jour 7: île Roatan, au Honduras
Jour 6: en mer
Jour 5: Grand Cayman, îles Caïman
Jour 4: Ocho Rios, île de la Jamaïque
Jour 3: en mer
Jour 2: Nassau, aux Bahamas
Jour 1: Embarquement à Miami, Floride
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30 décembre 2012. Jour 11. Miami, fin de la croisière.
Vers 4 heures du matin, on est réveillé par le bruit du trafic routier, sur MacArthur Causeway, route reliant Miami à Miami Beach. Et oui, on est revenu à la case départ, à Dodge Island, île où accostent les navires de croisière !
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Débarquement, et nouveau passage devant les fonctionnaires du Homeland Security, avec à nouveau la totale: passeport, empreintes digitales, prise de photographie, chiens reniflant les valises. C'est fou comme on peut se sentir bienvenu à chaque arrivée aux Etats-Unis. Un plaisir intense, sans cesse renouvelé...
Shopping au Dolphin Mall.
L'heure du déjeuner arrive: direction le Food Court, zone rassemblant les restaurants. On choisit du Poulet cajun Bourbon, au Kelly's Cajun Grill. C'est la première fois qu'on apprécie de manger de l'Américain. C'est dire à quel point la nourriture de Costa est immonde. Et d'ailleurs, même en ayant bien mangé le matin, on avait faim à 11:00. Ce n'était donc même pas calorique.
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Vol Miami Paris sous le signe des turbulences. À plusieurs reprises, les hôtesses sont sommées d'interrompre leur service et de s'attacher. D'après le commandant de bord, nous étions soumis à un vent latéral de 300 km/h.
Le paroxysme est atteint au petit déjeuner. Un jeune homme portant un t-shirt avec une inscription problem ?, et un pantalon blanc immaculé et.. maculé de larges tâches de café, résume la situation: la cata. Sur mon jean, c'est moins voyant, mais ça cocotte quand même sévèrement le café. Mieux vaut ne pas avoir un rendez-vous d'affaires dans la foulée.
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29 décembre 2012. Jour 10. En mer.
Journée consacrée au repos et à la préparation des valises. Il faut ressortir des vêtements chauds, car il paraît que l'on est en hiver, et que l'arrivée à Roissy nous rappellera que l'Europe et les Caraïbes n'ont pas le même climat.
Merci d'avoir suivi notre périple au (quasi) quotidien. Dès notre retour, on vous fera un diaporama avec nos 950 photos. Enfin oui et non. Oui, on a bien pris environ 950 photos. Non, on ne vous en imposera pas la projection.
Prochaine et ultime mise à jour de cette page, vers le 2 ou le 3 janvier 2013.
D'ici là, très bonne année à tous, et surtout très bonne santé: vous en aurez besoin pour suivre nos prochains périples !
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28 décembre 2012. Jour 9. Cozumel, Mexique.
Bon, vous connaissez la chanson, alors en avant avec la plaque d'immatriculation:
Rappelons que Mexico signifie Mexique, alors que Mexico City est la ville de Mexico. Nous ne doutons pas de la culture générale de notre public. Nous sommes plus perplexes sur celle des guides Français de Costa. Barbara Douchka, charmante petite gourde, c'est bien de toi que l'on parle...
Au Mexique, la Coccinelle (la Cox, quoi !) est une institution. Alors on la prend en photo dans tous les sens, tel un Amerloque chassant la 2 CV dans Montmartre. Mais il faut bien reconnaître qu'on n'a jamais vu autant de Cox au mètre carré.
Aujourd'hui, place au sport !
On a choisi une randonnée sauvage aux commandes d'un buggy.
Attention, c'est du buggy à la mexicaine: chassis et moteur de vieille Coccinelle, freinage inexistant, boîte de vitesse préhistorique, pneus lisses, essuie-glace cassé, conducteur bourré...
La piste et les marécages des environs sont un peu dangereux.
On peut y faire des rencontres vraiment désagréables.
On est en vacances, mais on peut aussi se cultiver un peu. Allez, un petit truc maya pour se donner bonne conscience.
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On termine par une bonne margarita, à la terrasse du Thirsty cougar, accompagnée de quelques tacos. Houlà, la margarita du coin, c'est de la vraie, de la bonne ! Il faut maintenant se trainer jusqu'à l'embarcadère, afin de prendre place dans une chaloupe.
Euh, por favor, quelqu'un pourrait empêcher le quai de bouger ? Pardon ? Il ne bouge pas ? Ca vient de moi ? Oh mieeeerda !
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27 décembre 2012. Jour 8. Bélize, Bélize.
Oui d'accord. Bélize, Bélize, ça fait aussi stupide que New York, New York. Mais c'est comme ça.
J'avais aussi pensé à: voir Bélize, et mourir.
...Ok, je sors !
Et hop, encore le coup de la plaque d'immatriculation locale. Ca permet de meubler la page...
A Bélize, nous avons choisi de visiter le site maya d'Altun Ha. Sa découverte date des années 1960, lorsque David Pendergast, du musée royal de l'Ontario, découvrit la tête de jade du dieu soleil Kinich Ahau. Cette découverte eut lieu dans la tombe d'un prêtre royal, à l'intérieur de l'autel du temple principal.
Le site d'Altun Ha étant à plus de 30 minutes de route de Bélize City,
cela nous permet d'observer l'architecture locale.
Le Costa Mediterranea a mouillé l'ancre à environ 7 km du port. En effet, Il n'y a pas assez de fond pour approcher plus près. Et depuis le coup du Concordia, on est devenu prudent chez Costa...
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26 décembre 2012. Jour 7. Roatan, Honduras.
Réveil nocturne vers 4h00. Sortie sur le balcon, et découverte d'un paysage à immortaliser.
Pas facile de retourner se coucher quand on a un tel spectacle sous les yeux.
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Arrivée devant l'île de Roatan. Le MSC Poesia nous a précédé: il est déjà à quai. Le Carnival Dream arrive en même temps que nous, et va mouiller l'ancre dans une autre baie. Quant à nous, nous devons aussi jeter l'ancre (12 tonnes, tout de même...) et débarquer avec les chaloupes de sauvetage.
Toujours un succès garanti avec la plaque d'immatriculation locale...
Nous avons opté pour un tour de l'île. Notre guide est un Français qui y réside depuis des années. Son vocabulaire s'en ressent, car il mêle de l'Anglais et du Français dans ses phrases.
Ce guide se prénomme François. Mais toute ressemblance avec un personnage réel serait purement fortuite.
Le coeur de la visite concerne les Carambola gardens. Ce sont d'immenses jardins tropicaux à la végétation luxuriante: cacao, café, canelle, coco, banane, girofle et, on y trouve de tout. Les jardins sont aussi peuplés de colibris, papillons, perroquets etc...
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Dans la zone réservée aux oiseaux, on peut faire de drôles de rencontres.
Ainsi, dans les images ci-dessous, on remarque la présence de deux beaux spécimens de volatiles. Saurez-vous les identifier ? Attention, il y a peut-être un piège...
La journée s'est terminée par de courtes visites de West End Village et de Las Palmas.
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Retour au port, et attente d'une chaloupe pour regagner le Costa Mediterranea. Horreur, il y a encore un hurluberlu qui shoote avec une tablette !
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25 décembre 2012. Jour 6. En mer.
Ce jour de Noël ne comporte pas d'escale. Nous passons la journée en mer, cap vers le Honduras. A l'horizon, pas une terre, pas une mouette, pas un navire: nous sommes seuls au monde.
A force d'aller vers l'ouest, on change de fuseau horaire: nous devons reculer nos montres de 1 heure, et passer à l'heure de l'Amérique centrale. Nous avons maintenant 7 heures de retard sur la France.
Un réveillon de Noël inoubliable, avec une nourriture souvent étrange. Quant à la flûte de Champagne (?), elle nous a donné une horrible migraine. 1 gramme de paracétamol suffit à peine à en venir à bout.
Le déjeuner du 25 décembre est aussi amélioré. En effet, c'est un peu moins mauvais que d'habitude.
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On commence vraiment à en avoir assez d'entendre les mêmes chants de Noël diffusés en boucle dans tout le navire, depuis 6 jours. Ras le bol des Let it snow et autres Jingle Bell !
Une journée en mer, il faut se trouver une occupation. Et ce ne sont pas les idées qui manquent.
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24 décembre 2012. Jour 5. George Town, Grand Cayman.
La navigation entre la Jamaïque et l'île Grand Cayman s'est déroulée sans histoire. On ne s'est même pas aperçu que l'on est passé au dessus d'une fosse marine de plus de 5000 mètres de profondeur.
Les îles Cayman forment un archipel de 3 toutes petites îles, à l'ouest de la Jamaïque. Elles sont un territoire d'outre mer du Royaume-Uni. Elles sont aussi le paradis des plongeurs et... des évadés fiscaux.
Au cinéma, elles apparaissent dans le film La firme, avec Tom Cruise et Gene Hackman.
Et hop, encore une plaque d'immatriculation locale:
Pour cette escale, pas de prise de tête: on a décidé de passer quelques heures de détente sur la plage de Seven Mile Beach. On a même mangé de la crème glacée, mais chut, c'est un secret !
Avec une température maximale de 32°C et un soleil radieux, difficile de se rappeler que ce soir, c'est Noël...
Alors que nous étions à la plage, le Disney Fantasy est venu se garer en double file. Encore un qui a gagné son permis bateau à Disneyland...
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18 heures. Le Disney Fantasy fait demi-tour, et part vers l'ouest. Le Costa Mediterranea fait de même 10 minutes plus tard, et lui emboîte le pas. Une seule grande question: parviendra-t-il à attraper la queue du Mickey ?
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Nous, on veut avoir des cadeaux du Père Noël. Alors on déponse nos tongs au pied de la cheminée !
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23 décembre 2012. Jour 4. Ocho Rios, Jamaïque.
Disons le tout net, nous n'attendions rien de cette escale. La Jamaïque est un pays plutôt pauvre, et pas spécialement touristique. L'insécurité y est importante, surtout dans les villes telles que Kingston. Ocho Rios, dans le nord de l'île, ferait un peu exception. Hum, faut voir.
L'arrivée au port est très tardive, vers midi. Cela nous permet d'assister aux manoeuvres d'entrée dans le port, et d'accostage. Le pilote du port monte à bord à environ 1 nautique de la côte (1.8 km). Il fait faire un demi-tour complet au navire. L'entrée se fait donc en marche arrière.
Espérons que les rétroviseurs sont bien réglés; mais peut-être que le navire dispose d'un radar de recul et d'une aide au stationnement ? Comment ? Si j'ai quoi ? Non non, je n'ai rien fumé.
Plus on approche, plus le malaise s'accroît. De toute évidence, nous n'arrivons pas au Pays des Merveilles. La comparaison avec La Romana, en République dominicaine, nous vient aussitôt à l'esprit.
Petite balade dans les rues, en quête d'un peu de shopping. Désillusion totale, toutes les boutiques vendent les mêmes produits, et tentent d'arnaquer le touriste en pratiquant un taux de change à la tête du client.
Quant à trouver des produits vraiment locaux, c'est pas gagné: presque tout est made in China. Pourtant, la main d'oeuvre locale ne doit pas être très coûteuse.
Dans tous les pays du monde, les taxis ont une réputation d'arnaqueurs. Mais quand on facture 10 Dollars (US) une course de 850 mètres, ce n'est plus de l'arnaque, c'est un sport olympique. Respect.
Ce n'est pas parce que Noël approche à grand pas qu'il faut décorer la crèche avec n'importe quoi. Des santons de Provence nous semblent plus appropriés. On dit ça, on dit rien...
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22 décembre 2012. Jour 3. En mer.
Communiqué officiel du Webmaster de sfvincent.fr: suite à un mouvement de grève du personnel de Lucifer, nous avons le regret de vous annoncer que la fin du monde a été reportée à une date ultérieure. Veuillez nous excuser pour tout désagrément que cela aurait pu vous occasionner.
Dès notre départ de Nassau, la mer s'est montrée agitée. Conséquence automatique: les passagers ne sont plus capables de marcher en ligne droite. Sauf ceux qui sont bourrés, bien sûr. Veuillez m'excuser, je viens de renverser du café sur le clavier, je vais chercher de quoi éponger les dégâts.
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Voilà qui est fait. Reprenons notre récit. Un jour de navigation: c'est l'occasion idéale de se promener un peu partout dans le navire, et de profiter de ses installations.
A commencer par le restaurant Degli Argentieri. Nous sommes toutefois assez dubitatifs à son sujet: la qualité de la nourriture est nettement en retrait, par rapport à ce que nous avions à bord du Costa Atlantica, en 2008.
Chez Costa, ils pensent vraiment à tout: sur la plage de proue sont entreposées des pales de rechange, pour les hélices de propulsion.
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Comme on est sur un navire de chez Costa, on va vérifier un peu les équipements de sécurité. Ca occupe.
Noël approche à grands pas. Voyons ce que nous réserve l'aumonier du navire.
Il y a bien une chapelle, mais on ne peut pas y loger grand monde.
En plus, elle est planquée à la proue, et la trouver sans plan est impossible.
Oh oh, quel est donc ce brouhaha dans la coursive, devant notre cabine ?
Ciel, des enfants par dizaines !
Ils arrivent du Squock Club, et sont déguisés en pirates !
Heureusement, ils ne font que passer, et ne cherchent pas à nous rançonner...
20 heures. Ding, fait mon iPhone: le réseau CUBACEL a été capté, et je viens de recevoir un SMS d'Orange, m'informant sur les tarifs des communications à partir de Cuba. J'active le GPS: N20°23'11" W74°01'31" .
Diable, on arrive en vue des côtes de... Guantanamo !
Je vous laisse, je dois aller percevoir un pyjama orange gratuit. C'est Noël !
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21 décembre 2012. Jour 2. Nassau, Bahamas.
Nous voici donc à Nassau, capitale des Bahamas. C'est aussi une scène d'action de nombreux James Bond: Docteur No, Opération Tonnerre, Jamais plus jamais, Permis de tuer.
Grande tradition chez sfvincent.fr, la plaque d'immatriculation locale:
Nassau et les Bahamas, c'est LA destination des croisières.
Certains jours, jusqu'à 12000 touristes sont déversés en ville, pour quelques heures.
On frémit en pensant au chiffre d'affaire réalisé en une journée.
A ce stade, on ne peut même plus parler d'industrie du tourisme: le mot est trop faible.
Comment ne pas acheter de coquillages à Nassau ?
Ils ne sont pas vendus par Ursula Andress, héroïne de Docteur NO.
Ah ben oui, là, ça calme.
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Pas de problèmes d'insécurité dans la ville: entre la police et les vigiles, difficile de voler une banane sans y laisser sa peau (la sienne, pas celle de la banane !)
Bon, assez trainé en ville, on se ferait bien une heure ou deux à la plage.
Direction le complexe Atlantis, sur Paradise Island. Paradise ? Faut voir...
On a complètement oublié la date du jour: 21 décembre 2012: la fin du monde en direct !
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20 décembre 2012. Jour J, jour 1. Fin du monde, nous voilà !
Nous y sommes: demain, c'est la fin du monde. Pour être sûrs de ne rien manquer du spectacle, nous embarquons sur le COSTA MEDITERRANEA.
Ce soir, on largue les amarres pour les Bahamas, en plein triangle des Bermudes ! Rendez-vous en enfer !
Arrivée au port de croisière de Miami. Organisation remarquable, le check-in se fait les doigts dans le nez, avec très peu d'attente. Ca nous change de l'organisation bordélique de Royal Caribbean, à Dubai, en janvier 2012: on avait failli devenir fous.
Bienvenue à bord ! On est accueilli par du personnel déguisé en Père Noël. Il y en a même un qui porte des cornes... de renne. Le tout sous un cagnard qui nous plombe de ses 28°C. Etrange ambiance.
Dès que l'on commence à arpenter les coursives du navire, on est en milieu connu. Il y a un air de déjà vu, puisque le Mediterranea est le jumeau de l'Atlantica. Parmi les nouveautés, une décoration totalement différente, et la diffusion de chants de Noël dans les coursives: ça change des airs des îles !
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Arrivée dans notre cabine, la 5229, sur le pont 5, Orfeo. Comme on va y vivre 10 jours, il s'agit de s'y installer bien confortablement. Nathaniel Semana, des Philippines, est notre steward. Il vient vérifier que nous sommes bien installés, et... déverrouiller notre mini-bar !
Bouh, tous les navires quittent le port dans un concert de sirènes, mais nous restons à quai. En effet, de nombreux passagers ont eu des retards d'avion, et il n'est pas question de partir sans eux. Départ reporté de 20h30 à 23h45 !
Pour le traditionnel (et toujours ennuyeux) exercice d'abandon du navire, il y a du nouveau. Pour être bien certain qu'aucun passager ne s'y est soustrait, chacun doit prouver sa participation, en rendant une carte personnelle qui lui a été remise à l'embarquement. A croire que Costa a eu des problèmes dans le passé...
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19 décembre 2012. Jour J-1. Deux touristes à Miami
La raison qui nous a conduits dans les Keys est la célébration d'un anniversaire. Un anniversaire qui compte beaucoup pour nous. Il y a 20 ans, en 1992, nous avions séjourné à l'hôtel Bayside de Key Largo. Et c'est là que François a demandé Sophie en mariage: elle a dit oui !
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Et pour marquer le coup, nous avions décidé de louer une voiture mythique: une Chevrolet Camaro cabriolet.
Bien, et maintenant, cap sur Miami, car nous devons embarquer dès demain.
Nous décidons de loger dans le downtown (centre-ville), près du port.
Et là, c'est le grand débalage du luxe. Ce n'est pas courant de croiser 3 Maserati, 2 Ferrari et 3 Porsche Cayenne en moins d'une heure. A Miami, c'est d'une banalité presque lassante. Quant aux bateaux, rien à voir avec le jouet que nous avons loué hier à Islamorada: ici, c'est du sérieux, c'est du yacht à longueur de quai !
Surprise, les dauphins aiment aussi le luxe. Ainsi, ils ne peuvent pas s'empêcher de venir admirer ces yachts rutilants. Autre surprise, il semblerait que nous approchions de Noël. Les 28°C ambiants nous l'avaient fait oublier. Damned !
Nous avons une pensée émue pour nos lecteurs, qui se prennent de la pluie et du froid.
Miami, c'est aussi Deux flics à Miami, ou Miami vice en version originale.
Alors voilà: on a trouvé les flics, et on a trouvé le vice.
Bien, je vous laisse, j'ai un spectacle à aller voir, ce soir...
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18 décembre 2012, Jour J-2. The Captain is always right, and I'm the Captain.
La croisière ne commençant que dans 2 jours, nous avons décidé de passer une journée dans l'archipel des Keys, à l'extrême sud de la Floride.
Chemin faisant, nous avons eu la chance de tomber sur une dizaine de dauphins, qui nous ont joué un petit spectacle, rien que pour nous. Ils ne sont pas farouches, mais il n'est pas facile de les photographier. C'est qu'elles sont rapides, ces bestioles !
On nous avait mis en garde contre la présence de bancs de sable. Evidemment, on a raté les balises, et on s'en est sorti in extremis, en relevant le moteur au ras de la surface. Ouf, l'alerte a été chaude !
C'est bien connu, la mer, ça creuse. Alors ni une ni deux, on accoste au Island Grill, afin de déjeuner. L'accostage et l'amarrage ont été un peu... épiques. On n'a pas d'images à vous montrer, on était trop occupé...
Le mot de la fin est affiché dans le restaurant: Un mauvais jour passé en mer surpasse quand même un bon jour au travail. Ah oui ? Et si on a passé une bonne journée en mer, ça marche aussi ?
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PROGRAMME DE LA CROISIERE
Pour ce Noël 2012, retour aux Caraïbes, déjà largement sillonnées lors de nos croisières de 2008 et 2009. Nous allons faire la croisière Arc en ciel tropical. A l'exception de Miami (Floride), les escales nous sont toutes inconnues.
Jour 1: Embarquement à Miami, Floride
Jour 2: Nassau, aux Bahamas
Jour 3: en mer
Jour 4: Ocho Rios, île de la Jamaïque
Jour 5: Grand Cayman, îles Caïman
Jour 6: en mer
Jour 7: île Roatan, au Honduras
Jour 8: Bélize, à Bélize
Jour 9: île Cozumel, au Mexique
Jour 10: en mer
Jour 11: Miami, débarquement (snif !)
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De plus, nous arriverons à Miami 3 jours avant l'embarquement. Nous en profiterons donc pour faire un peu de tourisme local. Probablement dans les Keys, on verra bien...
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Pourquoi avoir choisi de nouveau Costa ?
Mais c'est très simple: la foudre ne tombe jamais 2 fois au même endroit: le Costa Concordia a fini sur des récifs, il y a moins d'un an. Donc, tout le reste de la flotte est protégé. Enfin, c'est ce que l'on pense. Nous, on dit ça comme ça...
De toutes façons, comme ce sera la fin du monde le 21 décembre, et que nous serons tout près de pays peuplés d'Aztèques (Honduras, Bélize, Etat mexicain du Yucatan), on n'a absolument aucune chance de s'en sortir, Costa ou pas Costa !
La fin du monde, oui, mais avec du panache !
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Quelques informations sur notre navire, COSTA MEDITERRANEA
Le Costa Mediterranea est le navire jumeau du Costa Atlantica, que nous connaissons déjà. Nous ne devrions donc pas être dépaysés. Seule la décoration intérieure est totalement différente. Alors que l'Atlantica s'inspire du cinéma et de l'art, le Mediterranea s’inspire des palais de la noblesse du XVIIe siècle.
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1.057 cabines
4 restaurants
12 bars, dont un Cognac & Cigar Bar et un Wine Bar
44 bains à hydromassage
4 piscines
Gymnase, salle de soins, sauna, bain turc, solarium UVA
Terrain de sport polyvalent, Parcours de jogging extérieur
Théâtre sur 3 étages, Casino et Discothèque
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